Jean Zay au Panthéon : une injure à l’histoire
4 juin 2015 21:27, par Marko
L’histoire n’est écrite que par les vainqueurs et ils continuent à la ré-écrire. Maintenant, les prisonniers politiques ou autres, via les magazines, les films, les reportages et documentaires télévisés, deviennent des résistants.
Très bon article sur l’injure du panthéon et ceux qu’on y met. J’ai une question qui me taraude : comment peut-on transférer la dépouille de quelqu’un après ça ? « Ils l’assassinent en cours de route, se débarrassent de son corps dans une ravine où ils jettent des grenades pour provoquer un éboulement et faire disparaître leur forfait. »