L’Europe ne tient qu’à un fil : la Grèce. D’après M. Sapir, soit elle éclate tôt ou tard soit c’est le cataclysme. Il faut toujours un exemple qui servent de cas d’école : la Grèce en est-il un ? Ce que je crains c’est que nous sommes en fin de course d’un cycle : soit ceux sont les mondialistes soit ceux sont les peuples qui gagneront. Pour l’instant, force est de constater que les premiers, même peu nombreux, font la pluie et le beau mais la désespérance des peuples s’accroît chaque jour contre ce nébuleuse et funeste oligarchie.