Le CCE d’Air France est l’un des plus riches de France. Il faut dire que le groupe Air France s’est toujours montré particulièrement généreux : il alloue 3,11% de sa masse salariale au comité central d’entreprise. Une somme considérable par rapport aux obligations légales, beaucoup plus modestes. La loi Auroux de 1982 impose en effet aux entreprises de verser au moins 0,2% de leur masse salariale brute en subvention de fonctionnement pour leur comité d’entreprise. Vient s’y ajouter une subvention pour les frais liés aux activités sociales et culturelles, dont le montant n’est pas précisé par la loi et qui dépend avant tout de l’historique de l’entreprise. Le CCE d’Air France est donc plutôt bien loti.
Aprés "C’est vrai j’ai tendance a dire des bétises !!!"
Et encore nous ne parlons que du CE... Un exemple parmis tant autres,mais j’en conviens qu’il n’est pas bien apprécié de dire certaines vérités...
C’est avant tout des combats de corporations,de syndicats chacun déffendant son petit prés carré...
"Longtemps, Air France avançait de l’argent pour la trésorerie du CCE", Une façon d’acheter la paix sociale diront certains. Lassée, la direction a décidé de mettre un terme à cette pratique. Ce qui aurait dû pousser les syndicats à adopter une gestion plus saine des deniers. Hélas, sur fond de luttes syndicales.
Le cabinet INA met au jour des dysfonctionnements graves : achats en carte bleue de 3.000 euros de téléviseurs par mois, documents comptables détruits, logements de fonction illégitimes... " Un vrai gavage !!!"