d’un côté Il parle bien, il a bien compris certaines choses et dénonce certaines impostures, etc, mais il y a toujours un problème : comme dit l’autre (Marx) la pensée et les problèmes qu’on se posent sont conditionnées par les conditions matérielles de vie, cet intellectuel à emploi protégé de prof et d’universitaire, qui n’a jamais connu la misère concrète, la précarité, etc, ne se pose que des problèmes intellectuels sur la société, comment conserver sa dignité d’homme, la critique du consumérisme (dont les ouvriers dans la mouise se satisferaient bien !) aliénant, etc, etc. Mais les problèmes concrets, y compris les manifestations concrètes et matérielles du Libéral-fascisme (les bavures policières, l’insécurité administrative, les persécutions et précarisations en tous genre), le chomage, la misère, l’humiliation, la peur, la difficulté de la vie, les mensonges des patrons et des marchands, etc, il ne connait même pas, apparemment il ne les soupçonne même pas, il n’est préoccupé que par les débats intellectuels.