L’Union européenne : une structure anti-démocratique d’oppression et de répression
17 juin 2015 15:23, par listenerL’UE échappe à l’analyse. A la question : Qu’est ce que cette chose ? Personne n’est capable de répondre. Impression qu’on a encore affaire à la création d’un grand "On", comme la "Communauté Internationale" qui n’a jamais existé et qui n’est rien. Au fond, l’Europe est une Sous-Communauté Internationale". et fonctionne sur le même mode.Ce n’est pas parce que des crétins surpayés se réunissent et pontifient sur le "climat" qu’ils représentent quelque chose.
Or en droit moderne, le peuple exige que ce qui prétend parler en son nom se présente ! Dre et écrire ce que l’on est. Exemple : "la France EST une république sociale, démocratique et etc". On peut toujours critiquer mais la "chose" qui s’appelle "la France" parle, se présente, se justifie et le débat est ouvert.
Rien pour "l’Europe". Il n’y a rien à tirer de l’analyse des "marchés" etc tout cela a été, depuis les phéniciens, une force mondialisatrice. Tout marché, tout commerce et mondialiste. Et ces marchés entrent naturellement en conflit avec le "droit" qui, lui, est n’est pas mondialiste. Ce que l’Europe extension pitoyable du grand marché américain sans frontières ni "barrières douanières", et dominé et manipulé par eux, entend passer sous silence.
L’union européenne est en réalité une création diplomatique manipulée par les américains mais elle refuse fermement de passer pour telle. Et elle trompe ainsi tout le monde. Car lorsqu’elle apparaîtra pour ce qu’elle est (des traités) elle éclatera car les sauvegardes en tous genre (le droit) se mettront immédiatement en place.
La Grèce a clairement choisi le droit face aux "marchés". Tsipras dit qu’il a reçu un mandat de son peuple. C’est du droit. ! Les "marchés" doivent être obéis. Le peuple grec a tort. Mais le peuple grec a parfaitement raison. L’Europe obsédée par la finance a commis un nombre incalculables de fautes juridiques comme de faire entrer la Grèce et de ne pas avoir prévu une procédure de défaillance !
Le pire, c’est que cette bande de prétentieux a été pigeonnée et ils ont déguisé leur erreur financière justement sur des considérations politiques et même culturelles ! Il fallait faire entrer la Grèce, parce que la Grèce, c’est Platon et Aristote ! Les limites de la bêtise humaine ont été atteintes. Si encore ils avaient été de bons financiers. Même pas.
Si la Grèce est entrée pour des raisons politiques elle doit sortir de l’Europe aussi pour des raisons politiques.