Si Dieudo arrête, et je le crois, ce sera une perte immense, mais son jugement est fiable, et s’il en a décidé ainsi c’est le bon choix.
Deux ans pour savourer son humour, une dernière fois... et mettre une bonne quenelle à tous ceux qui veulent lui couper la parole, comme ce monsieur Estrozizi, alias "bac moins cinq" (et c’est gentil), le "motodidacte" de la politique...
Après ? 2017, nouveau président... face à ces sinistres clowns de choc qui nous gouvernent, un homme bon et drôle comme Dieudo a mieux à faire qu’essayer de rivaliser... À l’impossible, nul n’est tenu.
Dieudo, tu es un grand : le cœur d’un chevalier, d’un vrai, sous François Ier (le vrai, 1515-1547) tu aurais été adoubé par Bayard lui-même, et tu aurais tant fait rire la Cour que le bouffon, épaté, aurait démissionné.
Aujourd’hui, ce sont des bouffons qui nous gouvernent. Et ce n’est pas drôle.