Nouveau prêt géant de la BCE : à qui profite le crime ?
26 juin 2015 08:56, par MadMarxEn téhorie et en temps normal :
La banque centrale influence le taux d’intérêt en augmentant l’offre de monnaie "quantitative easing" planche à billet, et la demande de monnaie elle, est liée au taux d’intérêt.
Dans une économie à un moment ou un autre il y a création monétaire.
Quand les taux sont bas les entreprises ne placent pas leur avoir dans les bons, et garde leur liquidités.
Quand les taux sont hauts les investisseurs achètent les bons et réduisent la demande de monnaie.
Sauf que le taux d’intérêt est bas, et qu’en augmentant l’offre de monnaie, les investisseurs préfèrent avoir des liquidité et achètent bcp moins des bons.
On voit donc qu’à un moment donnée l’offre de monnaie n’influence plus les taux.
A mon avis on a dépassé les arguties Keynesienne, on peut enf... les mouches au vol, ça ne donnera pas d’avantage, avançons donc.
La locomotive économique, est en grande partie devenue virtuelle et fonctionne en vase clos.
Tout de même, cela a certaines conséquences, car pour valoriser toute cette fumisterie,et lui donner un contenu de valeur, il faut aller chercher la valeur quelque part, sinon ça en est fini de notre monde, on a beau louvoyer, mais à un moment donné il faut adosser l’économie à du tangible, du concret.
Hormis la spéculation sur le crédit (une valeur future à venir) sur laquelle repose notre monde.
On va donc cherche la valeur là où elle s’est accumulée, c’est à dire les économies et divers placements meubles et immeubles des citoyens et comme toujours en régime néo libéral, par une baisse drastique des salaires.
Tic...tac...tic...tac !