Tout, ou beaucoup, est dit, avec :
" on a toujours préféré évincer les débats d’idées, les analyses socio-politiques (mise à part les « tous des pourris », les « il y a trop de… en France », ou bien encore les « de toute façon, c’est la fautes des… ») ".
Ce bout de phrase peut illustrer peu ou prou l´idéologie de millions de familles de l´avant internet. Maintenant on peut les avoir les raisons en quelques clics, c´est pas la faute a pas de chance. Et finalement oui, c´est en partie la faute aux arabes, sauf que, si on voit quelle communauté les a fait venir, et pourquoi, on comprend un peu mieux qu´avec Pujadas l´ensemble.
Il faut continuer a éveiller, instruire, pour ensuite s´organiser et agir. L´histoire montre qu´un vrai changement, ce n´est jamais ce qu´on vend comme la révolution du peuple se révoltant contre le roi et le tsar, mais le fruit d´un processus lent. A moins que le Messie ne revienne faire le boulot, mais comme ce n´est pas bien sur, il vaut mieux essayer de mettre sa petite pierre quotidienne.
Pour ma part, j´ai connu une phase de colere quand j´ai commencé a comprendre l´entourloupe. Je pensais bien qu´on ne nous disait pas tout, je ne pensais pas que les médias étaient l´instrument de dictature principal du syteme.
Apres la belle génération 68, la génération Soral, pour l´instant, comme il le dit lui-meme, impossible de le savoir.