Les conséquences du "non" grec
6 juillet 2015 17:16, par Marcorèle
oui l’angoisse des eurocrates est que la Grèce puisse s’en sortir sans l’euro ce tabou se traduit déjà par une volonté d’installer le chaos par l’attitde criminelle de la BCE ; bel exemple qui illustre ici à un niveau local ce qui de fait se joue au niveau mondial. Installer le chaos plutôt qu’un désir de souveraineté en affichant le spectre du nationalisme
Une autre angoise est le rapprochement avec la Russie sur ce point les Etats unis sont intraitables... Le schéma d’un axe chypre Grèce SErbie Russie n’est pas à exclure si la gauche grecque s’émancipe du sentimentalisme europhile , et ....de l’otan. ! Il serait étonnant que Tsipras n’y songe pas un peu depuis sa visite à Moscou , s’il est fin politique il doit attendr un peu que l’opinion de son peuple évolue encore... vu le plébiscite d’hier cette évolution peut s’accélerer