Sauvetage des banques françaises en 2011 : retour sur le casse du siècle
10 juillet 2015 00:55, par wiseguy
C’est un article de qualité démontrant que la socialisation des pertes est consubstantiel au néo-libéralisme : que ce soit pour la crise des subprimes ou la crise grecque, le contribuable est le payeur en dernier ressort. Le pouvoir financier ne cherche pas à diminuer son exposition au risque (ce que montre bien la source no 6 sur le leverage bancaire) pour une raison simple à mon sens : pourquoi être prudent si l’on a la possibilité de faire payer ses pertes à quelqu’un d’autre ?