« (220 000 aujourd’hui contre 1 500 à l’époque des caricatures islamophobes), »
parler la langue de l’ennemi ne nous fera pas gagner la partie
parler de caricatures « islamophobes » est injuste
elles étaient bien plutôt sévèrement « islamo-critiques » pour parler comme Soral
se moquer des barbus, des kamikazes, des djellabistes de nos rues, c’est la moindre des choses dans cette déferlante pride arabo-musulmane
et puis dénoncer les phobies revient à habiter la fameuse cage aux phobes, ce qui n’est pas bien confortable