Il est évident que si à la tête d’un état le discours et le comportement sont clairs, la partie est quasi gagnée.
En France l’Etat et les gouvernements trahissent.
Sur le terrain les migrants sont encadrés et assistés par des associations/ organisations qui veulent en finir avec la France. Celles-ci sont à la manœuvre pour créer des rapports de force efficaces. Recettes habituelles : créer des situations médiatiques anxiogènes. Le peuple étant censé se réveiller (en colère, et là, on ne sait pas où il s’arrêtera) à la vue des hordes hors contrôle, le gouvernement se dépêche de trouver de (mauvaises) solutions. C est une imposture puisque c’est lui qui ordonne la situation d’origine...
Donc, pour avancer, quoi de mieux que des milliers de zombies prenant d’assaut le tunnel sous la Manche ? Il en va de même pour les campements ou les foyers d’accueil : tous noyautés. Les associations considèrent que les migrants sont un outil majeur pour déconstruire l’identité européenne post-coloniale.
C’est d’ailleurs à ce qu’il sert à tous les intérêts qu’on reconnait le prolétaire migrant : il est utile à des groupes en guerre, des états qui s’en servent comme arme contre nos sociétés. A des associations/organisations. Aux patrons.
La réaction des populations de Calais (et d’ailleurs) fait cruellement défaut. Par manque d’organisations pour les soutenir ? Seule une mobilisation unitaire de l’ampleur de celle contre le Mariage pour Tous pourrait avoir un début d’efficacité.
En face les associations/organisations de gauche sont dans les syndicats et ont des actions d’infiltration dans la fonction publique concernée par les migrations.
On peut comprendre aisément que l’influence qui se fait de la base vers le pouvoir circule tout autant dans l’autre sens. Des gouvernants vers les idiots utiles. Des donneurs d’ordre vers les subventionnés. De Valls vers le "peuple" de "gauche". Des centres de pouvoir aux travers de tous les réseaux.
Bien entendu, je peux prouver à la demande tout ce que j’affirme sur le noyautage et l’activisme effréné en milieu migrant. Y compris le travail de pression (d’intimidation) effectué sur les fonctionnaires amenés à traiter un aspect ou un autre de l’immigration.