La Macédoine débordée par les flots de réfugiés
24 août 2015 20:30, par sunetchine@yahoo.fr"Moi" y a 20 ans quand je disais que cette affaire sans le roussi on me prenait pour un barjo, un marginal, pour qqun qui panique, pour qqun qui était proche du fn ou des idées de droite (comme si les idées ou la pensée avait une droite ou une gauche). Mais comme je n’avais (apprendre ça s’apprend) pas les outils intellectuel, historique, phi et psi pour les exprimer clairement et calmement, j’ai pris mon corps mes cannes à mon cou et j’ai pris la route ; je voulais découvrir le monde. Très naïvement j’pensais que la G avait une vraie POLIT huuumaniste et blabla et sans faire exprès ;) chui devenu de gauche, ha la galère !) La G a "inventé" une sorte de système d’assistanat social qui est devenu à force une vraie industrie au dépend de ceux qui en on vraiment besoin sans compter les escrocs qui en profitent et mettent la suspicion sur ceux-la même qui en on la 1er nécessité au lieu d’inviter au travail les manchots. Ce qui a eu pour effet de fabriquer de vrais manchots (PSYCHOPATHOL). Un peu comme la poule à qui on apporte des graines et un discours papier mâché (les français ceci (raciste) et les croyants cela (pas bien). J’aime bien cette citation de Einstein : Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue." Bim !
Mais avec le temps j’ai réalisé (je le réalisais, mais par ou prendre le bout de l’apprentissage ?) que les bases de l’éducation se font petit et en grandissant ; là ou l’esprit et le coeur se forge ; ou l’envie de découvrir le monde sans préjuger se fait désir. Puis ensuite rebelote chui tombé sur des gens de Gauche du milieu d’la culture ; les pires...(à croire qu’ils ont le don de capter les gens dans le besoin ou la difficulté pour avoir une emprise psychologique et l’avoir sous le coude pour justifier leurs politiques et se donner bonne conscience. Avec les gars de drwat je n’aimais pas leurs discours rasso (alimenté lui par la gôch qu’elle amplifiait en ignorant (pardon pour le terme) les autochtones. Reste que j’ai vu de part et d’autre ; que cela soit dans les campagnes, à la ville ou dans les cités, que les gens avaient seulement envie de vivre peinard, bien quoi, sans trop de prétention pécuniaire, juste ce qu’il faut pour se dire je peux faire ceci, cela et bâtir sans être inquiété, être en bonne santé et heureux, mais pas à coup de tric. Un vrai labeur cette affaire... Merci de m’avoir lu