Manon Schick, à Lausanne, Suisse, c’est un peu la Caroline Fourest de France. Un zeste de féminisme culpabilisateur et accusateur. Alors que la femme, grâce à ces combats, a laissé tomber le mari pour se faire exploiter par le patron, in fine.
Manon Schick c’est tout le discours "droit de l’hommiste" et "démocratiste" d’une autorisée "gentille" de gauche. Du genre, à lui dire en face, "oui, les 3 tours, c’est une démolition contrôlée", elle pète un câble et criera à la "théorie du complot".
A l’époque, j’eus pu être des leur, à Amnesty.
Maintenant, comprenant qu’ils (Amnesty ou GreenPeace ou d’autres ONG) traitent la conséquence des problèmes (p. exple l’immigration) et non la cause (il faudrait virer et interdire toutes les sociétés multinationales non africaines d’Afrique) ; je me suis détaché d’eux pour devenir un méchant sale (au sens de pas propre ;-) gauchiste.
Manon Schick, ou la carriériste (j’aimerais pas être son mec…) qui utilise toutes les ficelles du système pour grader dans la pyramide du pouvoir avec une pseudo apparence de contestataire...
Du Fourest tout craché.