Moi j’ai toujours trouvé que Jacques ATTALI déshonorait l’Ecole Polytechnique de Paris. En effet, Il y a été un brillant major de sa promotion.
Mais, selon un processus bien connu de certains anciens de cette très bonne école, il a fait croire qu’il était bon en tout, voire génial en tout. Comme dans les faits, tout de suite après sa sortie, il est devenu un touche-à-tout dilettante, un bateleur-baratineur, mauvais en presque tout d’utilisable concrètement, les résultats tangibles et positifs de ses actions sont rares, et en tout cas toujours catastrophiques si on lui confie un vrai poste, pour essayer...
Il passe donc son temps à allumer des contre-feux, à fabriquer des rideaux de fumée dont les seuls buts sont de soigner son ego et évidemment de faire un bon billet. Depuis 40 ans, il excelle à lire les ouvrages anglo-saxons d’anticipation, en géostratégie, en économie, en trouvailles diverses, et il pompe, plagie, pille, recopie, à la vitesse de l’éclair, pour tout recracher en une soupe hétéroclite qui se vend assez bien au final. Pour ça, il est très bien rodé.
Les responsables (Mitterrand, Sarkozy et tant d’autres) qui ont voulu profiter des lumières aveuglantes de ce génie foudroyant, se sont tous faits enfumer et rouler dans la farine, comme tout-un-chacun. ATTALI est un fruit désespérément SEC.