à Michel Mertz :
Desolation Row comparé à la Mémoire et la Mer, oui, en effet, pas de comparaison possible, c’est bien sacrilège comme comparaison. Il faudrait qu’on parle un peu poésie pour que je vous explique pourquoi. D’un côté du génie, de l’autre des gribouillis d’adolescent attardé. Excusez du peu.
Le Gaullisme : je voulais exprimer (maladroitement, un post ne permet pas de s’étendre) que la France me semble avoir connu un "âge d’or" récent, sur la plan de la chanson. Cet âge d’or correspond à une période de souveraineté et de dynamisme national bien plus forts que maintenant.
Il y a toujours, me semble-t-il, une corrélation forte entre les Arts que peut exprimer une Nation et le moment historique où se trouve cette dernière. Molière rayonnait à l’époque du Roi Soleil par exemple. Aujourd’hui, à l’époque de ce qui nous tient lieu de président, c’est qui, Grand Corps Malade, Arthur H, les "tubes" des Enfoirés ou autres niaiseries qu’on considère comme de la bonne chanson ? Ah non, j’y suis : Stromae, c’est ça ?
L’une et l’autre chose sont liées. Un pays rayonne sur tous les plan du temps de sa grandeur. Dans une Nation en fin de souffle, tout s’effondre. C’est mon sentiment.