Pauvre jeunesse.
Elle ferait mieux d’aller en fôret, faire une bonne marche au lieu de s’agiter sur ces musiques mondialistes, se droguer, vivre le faux permanent et se détruire lentement mais sûrement.
Mais tout comme les dealers ne sont aucunement gênés dans leur petit deal local et quotidien, ces jeunes sont encouragés par la matrice à aller se perdre corps et âme dans ce bastringue mammonique. Tout cela forme une jeunesse consommatrice, aliéné. Alors si il y en a un qui finit en taule ou un autre qui se tue, peu importe, the show must goes on.