L’État dilapide les bijoux de famille
30 septembre 2015 18:58, par Eric
"La dernière en date remonte à mars 2015, avec la vente de la participation de 4 % dans le groupe d’aéronautique et de défense Safran. Afin de colmater les trous dans le déficit public, ce qui est de nature à déplaire à Bruxelles, le gouvernement prive la collectivité des dividendes qui, chaque année, étaient versés par Safran."
Si la copropriété d’usage des entreprises que prône Réseau Salariat était en vigueur, Safran n’aurait aucun actionnaire. 60 % de sa valeur ajoutée serait versée à la caisse des salaires, 30 % à la caisse des investissements et 10 % à la caisse gratuité (pour que les services publics soient gratuits).