Ce qui est marrant, c’est de noter cette soudaine acuité, ce souci du détail manifesté par absolument *toute* la presse nationale en un superbe mouvement synchrone, alors qu’on n’a pas eu droit au centième d’une tentative de vérification similaire depuis que la "Coca-coa-lol-lition" a commencé à oeuvrer, c’était il y a douze mois, pour faire des trous dans le sable comme on l’a vu.
En fait le circuit, c’est : l’AFP parle, la presse écrite aboie, la télé et la radio hurlent.
Ces journalistes sont soit très très concons (même pas cons : juste concons), soit ils ont très peur du chômage.
On va dire qu’ils ont peur du chômage, malgré leur statut fiscal privilégié (l’un n’empêche pas l’autre, comme dirait Elkabbach).