Des hordes de pilleurs déboulent dans les magasins
1er novembre 2015 11:07, par pg3eJe lis beaucoup d’erreurs d’interprétations dans les commentaires. L’article de "La Dépèche.fr" est aussi trompeur car politiquement correct.
Les hordes de pillards ne sont pas constitués de travailleurs pauvres qui volent des produits de première nécessité. Ce sont en général des groupes ethniquement homogènes qui font le pas d’une culture communautaire à une culture de gang. Les magasins visés proposent des produits de luxe : vêtements de marque, parfums, bijoux, etc et ne sont tenu en général que par une seule personne.
Les magasins de téléphonie se sont déjà adaptés, ils ne placent que des objets factices en vitrine. Les produits à vendre sont à l’abri des regards, et des mains baladeuses…
D’autres enseignes sont obligées de changer de taille pour employer plusieurs vendeurs et des vigiles, dont les coûts sont supportés par les acheteurs honnêtes. Mais la place manque dans les centres villes pour cette évolution, d’où la multiplication des magasins vides sur les vitrines desquels on a collé des affiches qui en trompe l’œil, donnent l’illusion d’une présence, voire d’une activité.
Il faut en revenir aux causes :
1 - D’une part la loi SRU qui a imposé un quota de logements sociaux dans les centres villes
2 - Ensuite la disparition des épiceries et boulangeries dans les rues commerçantes des centres villes au bénéfice des grandes surfaces installées en périphérie.
3 - Enfin le remplissage des logements sociaux par des populations nouvelles et désœuvrées qui sont confrontées à la violence du luxe proposé par les boutiques de leur quartier.
4 - Les bandes agressives font peur aux acheteurs potentiels qui vont privilégier d’autres enseignes ou le e-commerce. Les magasins du centre ville ferment ou ne trouvent plus de repreneurs.
Si vous voulez arrêter cela il faut simultanément :
stopper l’immigration invasion
stopper le chômage de masse
stopper l’insécurité et le laxisme de la justice
Avant que cela n’arrive, il n’y aura plus de magasin dans les centres villes.