C’est "quand même" dommage que Dieudo ne connaisse pas Boulez, c’est une petite lacune dans sa culture générale. Enfin il l’a découvert in extremis, espérons qu’il aille un peu plus loin dans la découverte de ce grand monsieur qui est un compositeur, un pédagogue et un chef d’orchestre influent du paysage musical et intellectuel de son temps. Et si Dieudo se donnait la peine de chercher un peu dans le répertoire il s’apercevrait qu’il y a des choses assez sublimes mais qui demande un effort. Bon c’est vrai qu’il faut un peu s’accrocher pour apprécier la musique sérielle mais une foi qu’on est dedans c’est l’ouverture sur un autre monde.