Cologne : chronique d’un mensonge rattrapé par le réel
9 janvier 2016 12:22, par Chevalier Lefebvriste...
Je ne sais plus qui commentait en disant (enfin écrivant) ici même sur E&R (commentaire) :
Les pauvres, ils sont malheureux, ils fuient la guerre et le ménage, l’hygiène, la correction, la propreté à Calais et dans leurs camps, c’est pas la priorité ou ce sont des gens de bon, de bien, cultivé, des pauvres familles, etc...
Et bien heureusement, car qu’est ce que cela aurait été, si ça avait été des barbares, sales, malades, vulgaires et malpolis ?
Il faut nous éduquer pour savoir les accueillir et surtout que nos femmes et nos filles ne les provoquent pas, elles n’auraient que ce qu’elles méritent de ces pauvres, tristes, malheureux et cultivés migrants réfugiés nos amis les chances pour la Fronse...