Je ne partage pas les avis admiratifs ici exprimés à l’endroit de M. Drac.
Non que l’homme soit inintelligent mais il lui manque la vertu de courage.
Son pessimisme fataliste en résulte.
Et finalement, il montre une superficialité en termes d’analyse du FN, vu comme un recours quand l’impasse est aussi certaine qu’avec les partis pleins de promesses qui l’ont historiquement précédé.
D’une manière générale la dissidence se donne peu d’idées nouvelles et beaucoup de lamentos. Une certaine censure peut l’expliquer mais aussi le jeu des réseaux qui sous-tendent cette soit-disant réflexion et organisent ses apparitions publiques.
Un critère évident pour en juger : le souci du Français de souche et de base ( la bonne vieille lutte des classes).
pour faire peuple il faut aimer les prolos de sa famille et une certaine intellectualité véhicule le sentiment contraire. Surtout que tous les repères communs ont disparaissent entre-temps (race, religion,
références musicales, littéraires, historiques....) dans le lavage de cerveau individualisé par les circuits multimédias.