C’est drôle, quand j’entends le premier chauffeur de VTC, je m’entends mot pour mot discuter avec un chauffeur Uber. Les voitures sales, les types antipathiques, qui font leur fine bouche (trop près, trop loin, trop en banlieue, trop saoul).
On oublie aussi la panne de CB, le taxi étant le seul endroit ou les machines à CB tombent en panne, environ une fois sur deux.
C’est triste à dire, mais oui, ils ont tué leur métier, ces taximen. Du coup pour l’adhésion populaire à leur cause, on repasse.
Puis l’économie mute, on peut rien y faire.
L’Etat, s’il choisit sa stratégie du déni et des oeillères va encore nous faire prendre du retard. Il est encore temps qu’il réfléchisse, de concours avec les taximen, à se réinventer.