Une étude scientifique fait le lien entre pornographie et agressions sexuelles entre enfants
11 février 2016 23:47, par Masai-MaraMoi, à leur âge, pendant les vacances, je me levais à 8h du mat’. Je me préparais, je petit-déjeunais, je regardais les dessins animés ou des documentaires, je lisais un Tintin.
Après, une petite partie de console jusqu’à midi.
Je mangeais en vitesse et je sortais voir les copains tout l’après-midi.
Foot, vélo, skeemboard au bord de l’eau, skate, roller, basket, plage, foot sur la plage, baignade, sauts, plongeons de l’embarcadère.
Qu’est-ce qu’on a rigolé ! Qu’est-ce qu’on s’est amusé !
Il n’y avait pas internet à cette époque.
On commençait à regarder les filles. Ah ! ça, oui !
Mais, c’était de la découverte, il n’y avait rien de malsain. C’était de l’innocence pur.
Et un peu plus tard... Une fois que l’on bénéficie d’un peu plus de subtilité et d’expérience, quoi de mieux que de découvrir la chaleur d’une femme, tout seul, comme un grand ? Elle n’est jamais aussi belle qu’à cette instant. Pourquoi tout gacher ?
Alors, oui. Tu mates 2-3 films de boules et quelques magazines de fesses de temps en temps. Mais, c’est juste pour stimuler un peu. Un petit plaisir coupable. Par simple curiosité. Tu expérimentes des trucs. Tu n’essaies pas de reproduire à l’identique ce que tu vois.
Il ne faut en aucun cas que cela devienne une obssession.