Pendant qu’un chercheur de gauche dénonce une possible dérive autoritaire, le totalitarisme rigole
15 février 2016 16:34, par Joachim Laurbis
Tant que ces intellectuels de gauche refuseront d’admettre le fait que leurs positions progressistes (comme la liquidation des frontières , l’extension des droits pour les minorités, l’abandon de la souveraineté , le multiculturalisme etc...) servent les intérêts du capital , ils seront voués à produire des analyses stériles menant les classes populaires vers une voie de garage.En plus de l’impasse théorique à laquelle conduit leur production scientifique ,ils sont tellement sectaires qu’ils ne veulent pas entendre parler d’une quelconque alliance avec les souverainistes (seule solution pourtant pour pouvoir résister au rouleau compresseur néolibéral).Ils préfèrent l’entre soi , les discours jargonants dans les cafés boboisants (à la manière de Frédéric Lordon ). J’ai beau être de gauche , je n’attends plus rien de ces gens là . On pourrait presque dire qu’ils sont la version chic et universitairement respectacle de ces imbéciles que sont les antifa. Ils éprouvent la même répulsion quand ils entendent les mots "nation" "souveraineté" "identité"