L’État maçonnique ne doit pas triompher !
17 février 2016 13:53, par Lord VoldeJ’ai le sang chaud de la méditerranée de la rive Africaine de par mes origines modestes de fils d’immigrés Algériens installés en France en région parisienne l’année qui a précédé le point de départ officiel de la guerre de libération anti-coloniale.
Alain ESCADA est un frère d’armes en dignité et en valeurs communes dont la spiritualité d’essence transcendantale est entièrement vouée à la fraternité, au bien commun, au bon sens toujours guidé par la voie de la raison et de l’éthique, au respect de la vie et de la destinée, au courage d’affronter sans sourciller les adeptes du mal en quête de détruire tout ce qui fonde et irradie le socle vivifiant animant les foyers de la spiritualité et grâce auquel, l’Homme peut s’élever, aussi petit soit-il, dans la contemplation des horizons et des espaces infinis comme aussi dans l’amour irrésistible et indicible d’une entité insondable dont l’expression la plus symbolique pourrait se définir comme incommensurable, indépassable et surpassant toute idée de grandeur céleste transfigurative, et hors lequel l’Homme perd ses qualités et finit par muer en un être creux, uniforme et insapide.
Je soutiens Civitas et j’adhère évidemment à cet appel circonstancié lancé par son Président, petit par la taille, mais grand et fort par le courage et l’intelligence.
En tant que Français de branche (né en France de parents autochtones algériens nés en Algérie française), je déclare que la France est une nation d’essence chrétienne et catholique dont l’histoire est aussi mienne en raison tant de l’idée que je me fais de la communauté nationale au sens horizontal du terme que de l’aspect de solidarité m’enjoignant raisonnablement à me sentir proche de la classe sociale à laquelle j’appartiens, et ce, sans distinction de religion, d’ethnie ou de naissance, hormis la traîtrise, la lâcheté et la crasse médiocrité propre à ce que Marx désignait en terme de lumpenprolétariat.
Pour autant, je ne renie ni mes origines, ni mon patronyme, ni mes racines ancestrales et ni l’historicité familiale.
Suis-je à la fois un français, un compatriote et l’un de vos pairs, selon la façon dont vous concevez l’identité française ou la réponse à la question de "ce qu’est être français" ?