Rien à secouer d’Umberto Eco, mais ne voir dans le film Le Nom de la Rose qu’une attaque anti-catholique, c’est délimiter vous-même les bornes de votre petit ghetto mesquin, pour certains...
Moi, j’ai été ému par l’histoire d’amour, la fin, je chiale.
Et il y a effectivement une critique du fanatisme, d’une élite auto-proclamée, qui s’arroge leurs caprices sur les autres...
C’est universel, ça, non ?