Mettez-vous un instant à la place de nos gouvernants après avoir lu "les-inquiétudes-du-Bâtonnier-de-Paris"
Immédiatement, vous conclurez : "au moins de ceux-là on n’a pas grand chose à craindre"
Internautes, circulons, il n’y a rien à voir et le Bâtonnier,cette caution aussi implicite que consciencieuse du système, n’a rien à nous apprendre.
En effet, ce n’est pas parce que les scribes critiquent l’imp(r)udence des Pharisiens, que le Sanhédrin changera quoi que ce soit à sa feuille de route, savoir notre crucifixion.
Maintenant que la loi a pipé les dés, que nos tribunaux arbitres sont achetés (ou vendus) et que nos auxiliaires de justice ne sont plus que des avocats à la soviétique, nous allons devoir, comme hier les dissidents soviétiques, nous battre sur d’autres terrains ; soit "en dehors" de la loi pipée.
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