Verdun 1916 : quand la presse était censurée
8 mars 2016 10:18, par badaud
J’ai les lettres que mon père, sur le front en mai-juin 1940, écrivait à ma mère : le 13 juin il lui écrit que les Allemands sont à bout de souffle et qu’il pense, comme Weygand, "que nous aurons le dernier quart d’heure" . 4 jours plus tard Pétain demandait l’armistice . Les soldats français étaient constamment trompés par la radio, optimiste sur ordre .