La première affaire française d’escroquerie à la GPA
23 mars 2016 09:35, par dev
Ah ! Vendre des enfants, voilà un vrai progrès en terme de philosophie du marketing, sans parler du bond dans celle de la prostitution. Permettre à des individus d’acheter l’enfant qu’on se refuse à leur laisser tout simplement adopter par ailleurs. Et puis, l’enfant vendu par une génitrice indigne(car c’est indigne, pour ne pas dire infâme) à des homosexuels/elles ; devenu grand, on imagine sans peine quel regard il va poser sur les acteurs de la transaction, sur lui-même, sur l’organisation sociale qui l’a permise et ceux qui l’ont rendue légale...tout un programme...C’est extrêmement pénible d’être pris en otage par l’ignominie, ça l’est encore plus que de l’être par la sottise...