La quenelle de Berlin devant la cour de cassation : les explications de l’avocat d’Alain Soral
30 mars 2016 16:45, par Paskl
En fait il n’y a pas, ou très peu, contrairement à ce qu’on essaie de nous faire croire, d’objectivité en ce qui concerne la justice sur ce type de sujet sensible.
Que de la subjectivité, que des jugements et considérations émotionnelles cachées derrière de grands mots creux. Telle insulte est autorisée, telle autre (la même mais d’un autre bord) est interdite. Et toutes les argumentations sont fallacieuses. C’est la majorité en place, le pouvoir qui donne le La. Mais on fait croire au "bon peuple" qu’il en est autrement.
Le pire, c’est que l’aveuglement des dirigeants et des juges est immense. Souvent ils ne se rendent même pas compte de ce qu’ils font. Il y aurait de quoi pleurer, s’il ne fallait pas en rire. Mais cela aura tôt ou tard des conséquences parce que là, trop c’est trop.