Affaire Klarsfeld : les descendants de déportés instrumentalisés pour ruiner Alain Soral
12 avril 2016 21:43, par FrédérickJ’avais déjà posé cette question dans mes commentaires lors de la dernière intervention de maître Viguier sur E&R : sur quelle loi s’appuie la cour pour interpréter une phrase ou un geste de Soral ?
Depuis quand le rôle d’un juge est-il d’interpréter ? Un juge est un arbitre et se doit de conserver une attitude objective et non subjective : l’interprétation est par nature subjective.
De quel "boulot" parle Soral, on ne le sait pas car il ne l’a pas spécifié.
N’y a-t-il pas ici un abus de pouvoir qui serait facilement démontable, ceci par le rappel des protocoles que les tribunaux se doivent de suivre lorsqu’il y a une plainte de déposée contre un citoyen ?
Je ne suis pas expert en droit mais il me semble qu’il est forcément illégitime dans un système juridique digne de ce nom qu’un juge puisse se permettre d’interpréter une phrase. Car dans ce cas, c’est effectivement devoir prouver son innocence sans qu’aucun crime n’est pu être détecté.
Il faut à tout prix refuser le terrain émotionnel sur lequel l’adversaire à décider de porter la lutte (c’est évident que c’est leur stratégie puisqu’ils n’ont rien de tangible) parce que la prochaine fois, ça sera :
"Soral a laché un pet ? Voici bien la preuve qu’il souhaite le retour des chambres à gaz !"