Allemagne : les gangs recrutent parmi les réfugiés
13 avril 2016 10:32, par H. K. Daghlian
Comme le pétard mouillé du nouvel an n’a pas explosé (les agressions faites par des « migrants »), ils en rajoutent une couche d’une autre couleur.
J’ai toujours pensé que la criminalité organisée était une des cartes que le pouvoir possède en main pour faire fléchir la population. Ils ont tous les noms, visages et même lieux de résidence (pas officiel, mais habituel) de criminels dont ils ont des taupes au sein des réseaux. Nous dire qu’ils ne peuvent rien c’est une façon d’entretenir la peur et la faire jouer au bon moment. D’un autre coté qui pourrait affirmer avec la plus grande assurance que les politiques (pas tous mais presque) ne profitent pas de la manne générée par toutes sortes de trafic ? Il n’ont tout simplement pas intérêt à voir la criminalité abolie.
Mais le plus important, c’est que maintenant qu’ils ont compris que le truc du terrorisme prend moins, ils ont changé de registre avec un truc plus local et plus réel : la criminalité organisée. Ne plus faire l’amalgame va être de plus en plus difficile pour les petites gens qui prennent leur infos à la télé.