Neuro-pirates – Réflexions sur l’ingénierie sociale, de Lucien Cerise
15 avril 2016 15:05, par Francois Desvignes
la condition de la domesticité du chien c’est que son maitre soit capable de lui donner sa pâtée tous les jours à la même heure et une friandise en rab quand il a bien obéi.
Les neuro pirates n’ont plus les moyens de leur politique qui de ce fait se retournera contre eux ou au mieux sera vouée à l’échec :
ils peuvent donner à manger à tous les chiens un certain temps (et encore...)
ils peuvent donner à manger à certains chiens tout le temps (mais "certains" ne fait pas "assez")
mais ils ne peuvent pas donner à manger à tout le monde tout le temps.
En fait, voilà ce qui va se passer :
les loups vont rentrer dans la dissidence, organiser le bordel
les chiens mal nourris vont se casser dans la campagne pour ne plus bosser pour leur maitre qui les paie plus
les chiens restés à la ferme vont mordre leur maitre pour se venger de ne pas avoir reçu la pâtée promise.
Vous êtes de quel côté ?
Du côté du chien ?
Vous êtes sauvé !
Du loup ?
Vous serez maitre demain.
Vous êtes apparatchik ? En plus sioniste ?
(...)