La fiabilité des études scientifiques en question
21 avril 2016 17:19, par CorsoLe plus étonnant dans le phénomène est qu’il touche aussi ce qu’on nomme les sciences « dures » [...] et l’une des plus dures de toutes, la physique, y compris la physique des particules.
Un exemple parmi d’autres, c’est la "non localité" s’agissant de l’intrication quantique - réaction identique quelle que soit la distance qui sépare les particules, expériences d’Alain Aspect etc (à distinguer des qubits) - afin que ne soit pas violée la clé de voûte de la Relativité restreinte.
Dans un autre registre, en Astrophysique, il y a la "constante cosmologique", bouche-trou bien pratique pour combler les failles liées à ladite matière noire (Einstein avait également ajouté malgré lui une "constante cosmologique" à la Relativité générale, avant les découvertes de Hubble, lorsque la Science académique stipulait mordicus que l’Univers était statique). Un excédent gravitationnel, et pas qu’un peu, une source invisible (naines brunes, trous noirs, neutrinos, ... tout y passe, il n’y en aurait jamais assez) emballé c’est pesé, la "constante" fera l’affaire.
Pourtant l’existence de densités vibratoires autres que la nôtre, à l’origine de cet excédent, n’est pas à écarter (pour la parabole à l’instar du gigantesque spectre électromagnétique, en comparaison avec l’infinitésimal échantillon auquel nos sens sont adaptés, dépendant de la fréquence). La gravitation ayant qui sait la propriété intrinsèque de passer outre les densités vibratoires, la source ou les sources étant non flagrante(s) ou visible(s) sur sur notre plan/brane et pour cause. Comme si le Monde tel qu’il nous apparaît était la référence universelle absolue... non que ces densités soient ailleurs ou adjacentes mais sur d’autres ’fréquences’.