Banlieues françaises : un rapport implacable sur les conditions de vie
7 mai 2016 18:22, par Zak_FRien de nouveau sous le soleil en lisant ce rapport bancal et peu instructif.
Je parle en tant en que sympathisant d’E&R ainsi qu’en professionnel dans le domaine.
Ces fameux 50 milliards correspondent aux sommes qui ont été versés depuis 2006-2007 aux travaux dans les cités ( Programme de Rénovation Urbaine) : les sommes venant à la fois de l’Etat mais les communes et les bailleurs ont été les principaux contributrices sur le plan financier.
Ce rapport ne parle que des quartiers en politique de la ville qui ne sont pas forcement les banlieues historiques. Les 1500 quartiers politiques de la ville ont été retenus selon deux critères :
il faut avoir un revenu médian de moins de 10500 euros par an
un quartier de plus de 1000 habitants.
Si on abaissait le seuil d’habitant à 500 habitants, vous verres qu’un bon quart de la population française vit dans des quartiers à problèmes.
La politique de la ville est le bras armé du néo-libéralisme :
Une approche centré sur le local et trés anti-étatiste : la réponse à une crise urbano-social doit se résoudre uniquement par le local : les acteurs locaux doivent passer des contrats avec les services locaux de l’Etat sur la base d’obejctifs partagés et sur des critères de rentabilité "socio-économique". Ce mode d’action s’intitule le mode projet s’intutile la contractualisation. En plus, les services concernés fonctionnement en mode projet c’est à dire qu’il doivent répondre à une demande précise dans un temps limité et une enveloppe alloué en innovant sans cesse puis avec des incertitudes. l’Etat dans le lot, intervient de manière trés lointaine et assez perverse
l’angélisme pro-grand remplacement : les professionnels de cette politique sont souvent pour l’immigration de masse et bon nombre des rentiers de l’antiracisme travaillent au sein de la politique de la ville
Tout cela pour vous dire que la crise que l’on présente comme étant naturel a été provoquée de toutes pièces.
Au départ, Il s’agit d’un problème urbain lié à la spécialisation de l’espace en zones ( résidentielles, industrielles ) post 45 et d’une volonté de créer une société sans classe.
Pour conclure, cette politique publique a permis de financer toutes les politiques anti-françaises de ces 40 dernières années sous prétexte de développement associatifs, de participation des habitants, de l’égalité Femmes-Hommes, de la lutte contre la discrimination et les stéréotypes puis les valeurs de la république- citoyenneté