Selon le FMI, neuf chômeurs français sur dix n’ont aucune chance de retrouver un emploi
25 mai 2016 18:51, par bannaniaPour le FMI lutter contre le chômage revient a développer une classe de travailleurs pauvres , un travailleur pauvre a plus de valeur qu’un travailleur payé normalement , il s’agit d’augmenter la valeur du cheptel. Revaloriser une classe d’actifs. On dirait juste un lobby de multinationale. Les multinationales sont les mieux placées pour profiter du chômage et de l’immigration non contrôlée même si pas mal de petits entrepreneurs font travailler depuis longtemps des sans papiers au black.la tendance lourde est plus de pauvres qui triment juste pour survivre et des riches encore plus riches car le capital gagne en valeur relative. La limite du système c’est que le cout de la vie ne baisse pas et que les salaires diminuent, ainsi que l’emploi salarié, le système détruit en douceur le travailleur qui n’est plus qu’un chômeur ou un RSAisiste, la révolte de assistés c’est pas évident a conceptualiser.On divise par la misère on critique les assistés et pourtant Vivre du rsa demande parfois plus de talent et de travail que tenir un emploi de cadre dans une grande banque voir au FMI. Ca me donne envie de relire Germinal de Zola. Pour comparer avec notre époque la faim est plus rare et les riches sans scrupules plus difficiles a attraper donc la révolution ou révolte n’est pas pour demain.