Henri Joyeux : "Les laboratoires pharmaceutiques s’intéressent plus à leur pognon qu’aux malades"
29 mai 2016 13:17, par la pince mon seigneur
Je suis sur que quand il avait 40 ans quand il était chef de clinique et qu’il était aussi émérite que maintenant, il y en avait déjà des histoire de ce genre, c’est pas quand on est mis à la retraite forcée à 70ans qu’il faut venir se montrer, c’est quand on est max de ses capacités intellectuelles et de maturité qu’il faut le faire, le système sait vous faire passer pour un vieux frustré et c’est l’étiquette qui va lui être attribuée