Il se trouve que j’ai connu Patricia Barbizet.
Comment dire ?
Vous lui serrez la main, la seconde qui suit, vous avez l’impression d’avoir déjà passé un mois dans un congélateur.
Dans les minutes qui suivent, vous atteignez le point 0, avec le sentiment d’être en apnée.
Le siège d’Artémis, l’employeur de la miss, est aussi intéressant.
Un lieu comme un cathédrale ; de vaste espace libres où trône en tous lieux des oeuvres d’art (d’assez mauvais goût) dont pas une ne vaut moins de 100 à 500 KE (Artémis cest Pinault et Pinault, c’est l’art).
Au delà de cette apparence froide, glacée, artistiquement moderne, il y a quelque chose d’autre de très, très frappant, et c’est une sensation qui, alors, m’a saisi de manière très violente - je suis un intuitif - : ces lieux puent le SANG ; chaque fois que j’allais là-bas, une expérience insupportable, j’ai eu l’impression d’entrer dans le royaume des Khmers rouges, avec leur fleuves de sang.
Le sang, qu’on se comprenne bien : je parle ainsi de la trace inconsciente d’un empire bâti en une génération moyennant des rachats, des cessions, des restructurations, des faillites et des reprises ; bref, la vie des grand fauves.
Cet univers est effroyable et Patricia Barbizet en est la DG depuis des années.
Alors Bilderberg, voyez-vous, c’est la réunion de ces gens là.
Des intelligences brillantes mais mécaniques, qui n’inventent rien ; des prédateurs sans limites. Des sociopathes.