Joseph Hirt, un nouvel imposteur de l’Holocauste ?
13 juin 2016 18:23, par listenerCe qui donne une certaine raison d’être à la "justice" en tant qu’institution, tellement critiquée par ailleurs, comme mécanisme d’examen strict des choses, c’est que les faux témoins s’y détectent, sauf quand l’auditoire est convaincu d’avance, quand il y a "mensonge symbiotique", "social" (sorcières)
C’est à dire qu’un faux témoin ne tient pas longtemps devant des gens totalement dépourvus de préjugés et qui sont indifférents à ses "souffrances" (mauvais signe, le témoin qui souffre) et même à tout. Le problème donc, ce sont les préjugés des hommes et leur penchant au rêve, et non l’escroc. Pas de préjugés, par d’escrocs. ("le premier prophète fut le premier fripon qui rencontra un imbécile" Voltaire)
Et il y a pire encore : lorsque le public demande des témoins, et encore des témoins (comme à Nüremberg) ! Là, ils se bousculent comme à la foire. Le faux témoin pullule comme punaises de prétoires. Les avocats qui font leur métier en restent parfois pantois.
Et il y a pire encore : c’est lorsque le faux témoin, même démasqué, est soutenu par les poètes et les artistes du music-hall ! Il a menti, certes ; mais c’était beau, et c’était du plus-que-vrai", c’était pour la "bonne cause" ! Le "faux Henri", le "faux patriotique" ! On pourrait dire, le "faux talmudique", mais enfin.
La plupart de vrais témoins sont sobres. Mais le faux, on arrive à le coincer. Quelque chose ne va pas dans son truc. Et il faut parfois un examen attentif de son témoignage Il y a toujours un défaut. Mais il faut du temps. Or, par temps de guerre, on a pas le temps.