Jacques de Larosière, ancien du FMI : "Les marchés financiers sont les maîtres"
15 juin 2016 08:05, par LibertarienLes politiciens de droite ou de gauche défendent la même idéologie :
ils nous disent tous que la solution à nos problèmes se trouve dans
"le renforcement de l’Etat".
En vérité,
plus le pouvoir est puissant, plus le peuple est impuissant ;
plus le pouvoir est faible, plus le peuple est fort.
Donc, pour résoudre les problèmes principaux du peuple,
il faut démanteler l’Etat OBESE.
Autrement dit, pour résoudre les problèmes principaux du peuple,
il faut réduire l’Etat à ses missions régaliennes.
Ainsi, les prélèvements obligatoires et la bureaucratie seront beaucoup plus faibles
donc le citoyen du quotidien aura plus de pouvoir d’achat et plus de temps à consacrer à son business.
Pour toutes les autres missions, le peuple n’a pas besoin d’un Etat paternaliste.
Luttons contre L’OBESITE de l’Etat !
Si une entreprise vous demande de l’argent et, qu’en échange, elle ne vous rend aucun service, qu’est-ce qu’elle fait ?
Réponse : elle monte une escroquerie. Elle doit donc être trainée au tribunal.
Eh bien, quand les députés
soumettent le peuple à des prélèvements obligatoires dingues ;
ne fournissent aucun service aux citoyens ;
ils font la même chose.
Si nos impôts ne servent pas à financer des services publics,
à quoi servent-ils ?
A enrichir des élus, des hauts fonctionnaires, des entreprises qui lèvent des marchés publics, des consultants gouvernementaux, des médias subventionnés, des associations subventionnées, des banques qui prêtent du pognon à l’Etat,... et qui, pour le peuple, ne servent à rien.
Nous devons créer le Parti Libertarien Français
Libertarisme : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liber...
Le programme de ce parti doit contenir la Taxation Territoriale des personnes physiques et des personnes morales : ils ne payent des impôts que sur le blé qu’ils ont levé à l’intérieur du pays. Le reste ne regarde pas l’Etat, par définition, puisque l’Etat a des frontières et il est souverain qu’à l’intérieur de ces frontières.
Aux politiciens qui regardent par le trou de la serrure ce que gagnent les citoyens HORS du pays qu’ils dirigent, il faut dire ce que disent les institutrices aux enfants qui violent la vie privée de leur petit camarade :
"De quoi j’me mêle !"