L’intervention n’aura servi que ce pourquoi elle avait été programmée : convaincre les idiots utiles que quelque chose est encore possible.
Ça ne résout rien, bien sûr, mais cela permet de gagner du temps.
Ah si, il y a un avertissement en arrière plan : un jour il faudra choisir entre le remboursement de la dette et la protection sociale.
Et on choisira le remboursement de la dette, comme en Grèce.
Oui, en France également, bientôt.
Parce que sans la protection sociale, seuls les pauvres et les innocents meurent.
Tandis que sans banques, tout le monde meurt et d’abord eux.
Donc y aura pas photo.