Un jour en France : mardi 21 juin 2016
22 juin 2016 15:25, par cernunnosJe ne vois, qu’une seule réponse, à toutes les féministes d’hier et d’aujourd’hui.
Les femmes ont été tellement manipulé dans tous les sens qu’en passant de leur prison patriarcale et au non choix des naissances, suivit d’une ignorance institutionnalisée, ont été soumis aux besoin d’une surcharge de travaille qu’imposait la société de consommation ( cuisine équipée, lave linge sèche linge, lave vaisselle, frigo-congèlateur, l’éducation, l’habillement, la nourriture équilibrée, l’hygiène et j’en passe et en passe encore et encore et encore de ses enfants).
Les femmes ont reçus de plein fouet la multitude de toutes les débilitées de l’après guerre de 1939 à 1945.
Ainsi, dans les cités ouvrières des années 70 le cagibi qui faisaient parti de la construction des immeubles comme frigos devant faire face à la conservation des aliments, non alimentés par une prise de courant, fut pendant et jusqu’en les années 1990 pour les plus pauvres ; le seul et unique moyen de conserver les alimentations de bases dictées comme aujourd’hui par la télévision, 3 fruits et légumes bien pollués par les pesticides par jours. ( quelle honte ).
Les femmes qui sont aussi des mères qui biologiquement, socialement parlant sont prêtes à tout pour défendre leurs progénitures désirées mâle ou femelle sans distinction ce heurtent encore et toujours à la même problématique qui est : " celui qui se fait pénétrer est plus faible que celui qui pénètre.
La preuve est historique et le résultat de la rencontre entre les Russes et les USA dans l’espace.
En effet, il fallu inventer un dispositif hybride, trans, asexué pour que ni les Russes ni les Américains ne passent pour une femelle vis à vis de l’autre.
Avec ce seul exemple : les femmes ont pour moi tout à fait le droit de revendiquer tout ce quelles veulent.
Le seul problème est qu’elles ont et depuis toujours le pouvoir de décision sur tout et aussi depuis toujours et cela sur toutes les civilisations et religions dans le monde.
Vous pourrez prendre le " "problème " " de toutes les façons possibles, il n’en restera pas moins qu’au final : c’est la femme qui commande et sur tout.
Simplement, l’homme fait tout son possible pour qu’elle ne s’en rende pas compte et ça marche à fond en rémunérant celle-ci à 50 % et en diminuant sa représentation publique du même pourcentage sur les sujets importants.
2500 caractères ne suffisent pas à un tel débat