La Deutsche Bank dans le collimateur de l’empire
1er juillet 2016 18:33, par la pince mon seigneur
Les Allemands savent jouer et n’aiment pas être contrôlés, quand ils le sont, ils jouent le jeu, tellement bien qu’ils infiltrent la structure jusqu’à pouvoir la déglinguer, les allemands ont compris que même quand on est dominé de l’extérieur, la valeur travail permet l’infiltration de la structure qui nous domine, curieux comme processus mais ça marche