Les banques italiennes au bord de la faillite
7 juillet 2016 02:37, par Francois Desvignes
"Dans le pire des cas provoquer une crise à la grecque"
Non
Dans le meilleur des cas provoquer une crise à la grecque : et c’est pas pour faire de la syntaxe.
La cessation des paiements de la Grèce soit un pays faisant 5% du P.I.B. de l’UE a failli casser les rotules de l’U.E.
Ça nous a coûté très très cher de ne pas sauver la Grèce puisque les prêts que nous lui avons consentis n’ont eux mêmes pas sauvé leurs banques prêteuses mais seulement accordé à ces dernières un sursis moyennant le saignage à blanc de la Grèce réelle. :
Maintenant, imaginez que le même scénario se reproduise pour l’Italie.
L’Italie et ses prêteurs sont trop gros pour être sauvés
Et la dead line c’est octobre