Houellebecq n’a aucune culture ou pensée politique structurée, résigné par moment, excessif à d’autres, tranché ou sans avis, changeant : ça dépend, des jours, de la question.
Il a des intuitions, des sensations, des fulgurances individuelle, mais n’arrive pas, ou ne veux pas, remonter aux causes, au niveau politique, en déduire les actions.
Tout cela semble lui peser, d’une lourdeur au-dessus de sa force.
C’est un poète après tout, bon ou mauvais, chacun ses goûts, mais un poète, et qui fuit ces contingences, souvent.
Je ne le critique pas en disant cela, c’est peut être lui qui a raison, après tout.