Brighelli : pour en finir avec la culture de l’excuse
7 août 2016 10:45, par Gerard J. Schaefer
Pour avoir été prof de collège dans le 93, les garçons maghrébins sont soit nuls, soit très bons.
C’est un problème d’encadrement familial.
Les filles sont sages, moyennes ou bonnes, mais jamais excellentes.
Et lorsqu’il y en a une qui est infernale, c’est qu’il y a une structure familiale inexistante derrière.
À partir d’un certain âge, les hommes maghrébins délinquants, s’ils arrivent à survivre jusque là, deviennent hyper sages, factuellement, spirituellement.