Les globalistes sont destinés à perdre
8 août 2016 14:28, par RitchieTout d’abord, félicitations pour mentionner le principe d’incertitude d’Heisenberg. Dans son énoncé, c’est qu’on ne peut pas mesurer à la fois, c’est-à-dire en même temps (comme vous l’avez évoqué) l’état d’un système et son rythme d’évolution. SVP, pourriez vous développer ces deux caractéristiques dans le contexte de votre analyse ? Je voudrais ajouter deux points. Le premier est lié au principe ci-dessus : tout est à un point de bascule en ce moment (les alliances internationales se défont, Arabie Saoudite, Turquie, etc.). Le second, c’est que toutes puissantes et richissimes qu’elles soient, les forces du N.O.M n’aiment pas voir leur image écornée. Un peu comme les parrains de la Mafia, elles aiment paraître dignes de respect. Si le "Mouvement de la Liberté" progresse et surtout informe les foules, cela n’est plus assuré. Malgré leurs dollars, elles craignent de paraître comme des vilains. C’est là qu’intervient le Gambit, mot impropre au sens propre du jeu des échecs. Mais si le N.O.M ne peut plus gagner dans la partie gauche de l’échiquier, il a encore la possibilité de "renaître" dans l’autre partie. A mon sens, c’est un peu comme si la Liberté gagnait, sauf que pour lui, c’est différer sa victoire à (beaucoup) plus tard. Mais l’Histoire des hommes est ainsi.