Quand un maire tente de justifier l’installation forcée de 200 migrants sur sa commune
22 août 2016 13:21, par Dounia
« Les gens sont gentils en France, estime Mohamed. Je retournerai au Soudan dans trois ou cinq ans si je n’ai pas trouvé d’épouse ici. J’aimerais travailler en France et il faut que j’apprenne la langue. » A peine arrivés, les deux amis sont partis à la gare, située à un kilomètre. « On va à Melun pour les papiers ». C’est en effet la préfecture qui étudiera leur dossier et la Rose des Vents les aidera comme tous les autres, avec l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration), dans leurs démarches administratives.
extrait de : http://www.leparisien.fr/saint-mard...
Ben voyons ! A l’hôtel ! Je choisis, je me sers, je cherche une grosse naïve qui va me faciliter la vie : argent, papiers, logis, sexe... C’est open bar !